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LE PARCOURS DES SENS DU BOISÉ-DES-BLOUIN

DOCUMENT DE RÉFLEXION (février 2020)

PARCOURS DES SENS / RIVE NORD (du ruisseau) PARCOURS DES SENS / RIVE SUD (du ruisseau)

Un PARCOURS, dans quel but ?

  • -  pour faire découvrir les richesses, beautés et énigmes du Boisé

  • -  pour faire connaître et apprécier la nature, le calme, et la stabilité des choses

    dans la nature (sans l’humain, elle se porterait peut-être mieux...)

  • -  faire connaitre et apprécier la Famille Blouin-Racine, son histoire

  • -  pour se détendre, fraterniser, contempler

    o décrocher de nos problèmes usuels
    o sortir de notre quotidien
    o s’ouvrir à plus grand que soi (humilité devant la nature, l’histoire...)

  • -  pour s’éduquer... dans la détente

  • -  pour transmettre aux nouvelles générations

  • -  pour faire un peu d’exercice

  • -  pour se donner une bonne base à partir de laquelle des jeux éducatifs

    pourront être créés, comme une CHASSE AUX TRÉSORS

    L’idée est de bouger un peu, de marcher essentiellement sur le plat pour le PARCOURS RIVE NORD. Il ne s’agit pas d’un concours, il n’y a pas de gagnants ou de perdants, ni même de bonne ou de mauvaises réponses aux questions proposées. Il ne s’agit pas d’une compétition (il y en a bien suffisamment dans la vie, au quotidien), il s’agit de découvrir le Boisé... et tout ce qui en découle... de découvrir, aussi, peut-être, des choses en soi, de vieilles choses, de vieux souvenirs, par exemple.

    Il s’agit d’un PARCOURS avec des ARRÊTS. Un chemin de croix avec des stations à la manière de l’Église catholique ? Pas vraiment..., mais il peut s’agir d’une forme de quête, pourquoi pas, une quête mue par la curiosité. Pour dire plus juste, il peut s’agir d’un PARCOURS avec des ARRÊTS au cours desquels l’ACCOMPAGNATEUR transmet des informations et échange avec les PARTICIPANTS.

    Donc, pour réaliser ce PARCOURS DES SENS, il faut trois composantes : des ARRÊTS; un.e ACCOMPAGNATEUR.TRICE; et un groupe de PARTICIPANTS qui réalise l’activité.

    NOMBRE DE PARTICIPANTS

  • -  de préférence 3, 4 ou 5 personnes

  • -  6 ou 7 au maximum

    DURÉE DU PARCOURS

  • -  une (1) heure

  • -  de 5 à 7 minutes par ARRÊT

    POINT DE DÉPART DU PARCOURS DES SENS

- À l’AGORA

LES ARRÊTS / PARCOURS RIVE NORD

- 1. LE PONT DES COUSINS
Ici, l’idée est d’introduire les PARTICIPANTS à certaines réalités du Boisé, sans les assommer dès le départ avec des notions complexes. Léger.

QUESTIONS
o Pourquoi ce nom, le Pont des Cousins ?

 Construit par qui, en quelle année ?

  • Par les cousins Racine sous la supervision de Bernard

    o Les Racine ?

  • Le chemin qui monte vers la RIVE SUD a aussi été

    réalisé à cette même époque

  • Vers 1986-1988 (?)

    § Pour quoi faire ?

• Pour lier les deux rives du ruisseau, comme pour le Pont

Bernard situé à l’entrée du côté Ville

SUJETS OPTIONNELS
o Faire remarquer la présence des fougères

§ Que c’était le lieu préféré de Georgette
o Faire remarquer la présence de l’argile, de la glaise qui caractérise la

région, et la richesse des terres agricoles
§ Faire remarquer que la rivière YAMASKA, au fond de glaise, tire

son nom d’un mot abénakis qui signifie : « Là où poussent les joncs »

• Faire remarquer que le territoire de la région était occupé par les Abénakis avant l’arrivée des Européens

o Pour en savoir plus, visiter le Musée des Abénakis, à Odanak

- 2. LE SENTIER DES HÊTRES
Aussi appelé LE SENTIER DES ÊTRES ou, SENTIER DES PHILOSOPHES Ici, l’idée est de sensibiliser les PARTICIPANTS à la variété des arbres que l’on trouve dans le Boisé.

QUESTIONS
o Pourquoi le Sentier des hêtres ?

§ Parce que c’est sans doute à cet endroit que l’on trouve le plus grand regroupement de hêtres du Boisé

• Des hêtres en partie morts dans les années 1990 o Faire remarquer les caractéristiques du hêtre

§ Surtout, son écorce lisse qui rappelle la peau humaine
• La pluie sur l’écorce du hêtre est une chose à voir

§ Ses fruits (comme des petites gueules) et ses feuilles

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SUJETS OPTIONNELS
o Tout prêt des hêtres, faire remarquer la présence de spécimens de

l’espèce d’arbres sans doute la plus rare dans le Boisé (le cerisier noir) § Le cerisier noir pousse de façon dispersée, sans regroupement

  • On en trouve deux beaux spécimens dans l’ouverture pratiquée par Denis il y a quelques années

  • Un arbre apprécié des ébénistes
    o Faire remarquer les caractéristiques du cerisier noir

    § Surtout, son écorce singulière qui ressemble à des morceaux de papier mâché patiemment collés, un à un

o Lire la liste des arbres présents dans le Boisé § Faire remarquer :

  • que le noyer cendré est disparu

  • que les frênes sont en train de mourir

  • que pendant que certains meurent plusieurs poussent en

    même temps, sans arrêt...

    DÉFIS À RELEVER PAR LES PARTICIPANTS (plus tard) o Parcourir le Boisé pour :

  • §  vérifier si les noyers cendrés sont complètement disparus du Boisé

  • §  localiser d’autres cerisiers noirs

  • §  vérifier s’il reste des peupliers faux-trembles, des boulots et des

    merisiers... et chercher à comprendre pourquoi ils ont presque disparu du Boisé

- 3. L’ANCIEN CHEMIN SAINT-BARNABÉ – SAINT-HYACINTHE Ici, l’idée est de sensibiliser les PARTICIPANTS au fait que l’ancien chemin menant de Saint-Barnabé-Sud à Saint-Hyacinthe passait par le Boisé.

o Indiquer l’emplacement exact du chemin
o Mentionner que Orédor, père de Bernard, passait probablement par là

pour aller en ville
§ Que la côte du Pont Bernard devait être quelque chose à passer

en charrette (trainée par des chevaux), en hiver... sur la glace..., puis au printemps, dans la boue...

- 4. L’ÉNIGME DU BOISÉ
Ici, l’idée est de faire connaître aux PARTICIPANTS l’Énigme du boisé, qui consiste en un trou dans la terre qui se maintient relativement stable au fil des années, un trou qui a un peu la forme d’un petit volcan renversé.

QUESTIONS
o De quoi s’agit-il ?

§ Moment de détente, faire parler les PARTICIPANTS
• Il existe un certain nombre d’hypothèses déjà émises à ce

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sujet, qu’en pensent les PARTICIPANTS ?

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o Il y aurait du sel dans le sous-sol et... pensons aux Parc-des-Salines...

o Des extraterrestres ont choisi ce lieu pour...
o Jean a creusé un trou, et, chaque printemps, il le

vidange afin de le maintenir stable, dans le but de faire perdurer l’Énigme, le mystère

DÉFIS À RELEVER PAR LES PARTICIPANTS
o Découvrir la véritable explication de ce trou dans le Boisé

- 5. LA PINÈDE / LE SITE DE CONTEMPLATION
Ici, l’idée est de faire apprécier ce lieu unique dans le Boisé.
À remarquer, l’acoustique qui est ici différente, à cause du tapis d’épines.
À remarquer, le sol où l’on voit encore les planches d’environ 10 pieds de largeur bordées par des rigoles... preuve que cette parcelle de terre a déjà été cultivée au début du 20e Siècle et ensuite redevenue forêt vers 1940 (?) puisque les arbres ainés de la Pinède ont environ 80 ans.

QUESTIONS
o Pourquoi le nom Pinède

§ C’est là où, probablement, on retrouve le plus grand nombre de pins blancs, dans le Boisé.

o Pourquoi le nom Site de contemplation ?
§ Il a été choisi comme site en tant que site cinéraire et de

contemplation, pour penser aux disparus qui nous sont chers, et c’est là où nous pourrions déposer les cendres de nos proches, si tel est leur désir.

  • À remarquer à l’extrémité sud du Site de contemplation, la roche qui permet de localiser le site avec certitude.

  • À remarquer, à l’extrémité nord du Site de contemplation, un gros pin blanc, peut-être le plus gros pin blanc du Boisé. Un petit sentier nous permet d’en faire le tour.

    DÉFIS À RELEVER PAR LES PARTICIPANTS (plus tard)
    o Parcourir le Boisé pour déterminer s’il s’agit bien du plus vieux pin

    blanc du Boisé.

- 6. EN HAUT DE LA CÔTE DE L’AGORA (retour à l’Agora)
o Cette descente vers la rivière et l’Agora ont été créées par Bernard en

19..., pour le bonheur de la Famille (modifiés et améliorés plusieurs

fois par la suite)
o Vieux pommier disparu
o Site d’une maison disparue il y a longtemps

§ Les premiers Européens (des Français) se sont installés le long des cours d’eau. Ensuite, pour éviter le dénivelé des côtes, les

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routes et les gens se sont installés plus loin dans les terres, sur

le plat (sur le rang Haut-Saint-Amable, par exemple)
§ La division des terres sous le Régime français : 3 arpents par 10

arpents (allant jusqu’à 3 arpents par 30 arpents), et ce, perpendiculaire aux cours d’eau, de façon à donner accès à la rivière aux plus grand nombre de fermes possible

- SUJETS OPTIONNELS
o Qu’est-ce qu’un arpent ?
o Régime français (1608–1760) et Régime britannique
o Les Racine et les Blouin sont arrivés en Amérique au cours du

17e siècle, pendant le Régime français
o Arrivée du premier Blouin : Médéric Blouin, en 1665
o Arrivée du premier Racine : Étienne Racine, en 1634
o La région de Saint-Hyacinthe, incluant Saint-Barnabé-Sud, a été

« développée » par les Européens à partir de 1748... Hyacinthe Delorme...

Médéric-Émery Blouin-Laviolette (Blouin, dit Laviolette) (1640-1707)
De France, Médéric Blouin arrive au Québec en 1665 (ou 1660, ou 1664)
Mariage en 1669, avec Marie Carreau (1655-1722), âgée de 14 ans, née à Québec.

Biliwin
Bellouin est un nom de famille dérivé du nom de personne d’origine germanique biliwin, issu de la racine bili qui signifie aimable, doux, et win qui signifie ami : surnom d’homme aimable.

Blouin est un nom de famille dérivé de l’ancien français blo, bleu, sobriquet désignant un homme au teint pâle, blafard.
Blohin, Blouain, Blouin, Blouyn, Bloyn, Belloin, Belouyn, Bloing, Beloing, Bellouin, Besloüin, Beloin, Béloin, Billoin

Diminutif : Blouineau
Bellouin, un originaire de Bellou, une localité de Normandie, France Blouen

Étienne Racine (vers 1606-1689)

Au 17e siècle, plusieurs Racine ont choisi l’Amérique comme terre d’accueil. Nous en comptons plus d’une vingtaine qui ont décidé de venir habiter ce nouveau continent. Ils provenaient surtout de la France, de la Suisse mais aussi de plusieurs autres pays d’Europe. Étienne est l’ancêtre commun de la majorité des Racine d’Amérique.

De France, Étienne Racine arrive à Québec vers 1634
Mariage en 1637, avec Marguerite Martin (1624-1679), âgée de 13 ans, née à Québec.

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COMPLÉMENT D’INFORMATION POUR FAIRE UN LIEN AVEC SAINT-HYACINTHE ET LA RÉGION La région maskoutaine est caractérisée par une vaste plaine aux sols argileux et fertiles traversée du sud au nord par la rivière Yamaska.

SOURCE : http://patrimoine.ville.st-hyacinthe.qc.ca/

Les premiers peuples qui sillonnent la région, il y a plusieurs milliers d’années, sont des chasseurs nomades qui établissent des campements temporaires sur les berges des cours d’eau boisés qui leur servent de routes. Les rivières Richelieu, Yamaska et Saint-François, dont les embouchures se trouvent toutes à quelques kilomètres de distance le long du lac Saint-Pierre, leur permettent de pénétrer les terres

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jusqu’à l’actuelle frontière avec les États-Unis. De là, ils peuvent emprunter le réseau hydrographique qui descend vers la Nouvelle-Angleterre. La région entre les rivières Richelieu et Chaudière est ainsi sillonnée par différents groupes d’Abénakis, tels que les Sokokis ou les Missisquois, dont certains viennent se fixer au 17e siècle à Odanak et à Wôlinak.

La rivière Yamaska ne semble pas avoir abrité d’établissements durables, mais elle a certainement servi de voie de transport aux chasseurs abénakis. C’est donc, selon toute vraisemblance, de leur langue qu’elle tire son nom, Yamaska, qui signifierait « là où il y a des joncs ». En 1609, Champlain l’avait baptisée rivière de Gennes et un peu plus tard, on retrouve également le nom de rivière des Savanes. Mais dès la fin du 17e siècle, l’appellation Yamaska est celle qui domine, tout comme son diminutif

« Maska », à l’origine du gentilé « Maskoutains » désignant les habitants de Saint-Hyacinthe.

C’est au cœur de cette région, un vaste domaine boisé d’environ 800 km2, qui se voit concédé, en 1748, en tant que seigneurie de Maska à François-Pierre de Rigaud de Vaudreuil, fils d’un gouverneur de la Nouvelle-France.

Le 25 octobre 1753, Jacques-Hyacinthe Simon dit Delorme, un jeune entrepreneur ambitieux, devient ainsi propriétaire de la seigneurie de Maska, qu’il rebaptise Saint-Hyacinthe en l’honneur de son saint patron. Né en 1720 au sein d’une famille de la petite bourgeoisie de Québec, Jacques-Hyacinthe possède une solide formation d’artisan menuisier, mise au service du roi pour la production de plates-formes et d’affûts pour les canons. Ses connaissances en ingénierie militaire lui permettent de prévoir que le conflit armé qui s’annonce imminent entre la France et la Grande-Bretagne nécessitera d’importantes ressources. Il envisage ainsi d’approvisionner la Marine royale à l’aide des abondantes ressources forestières de la seigneurie de Saint-Hyacinthe.

Le Rapide-Plat
À l’été 1757, la guerre de la Conquête est déjà bien amorcée. Alors qu’un peu plus au sud le général Montcalm patrouille les rives du lac Champlain pour éloigner les troupes britanniques, Jacques-Hyacinthe Simon dit Delorme, seigneur de Saint-Hyacinthe, remonte la rivière Yamaska accompagné de son épouse, Marie-Josephte Jutras Desrosiers, et de quelques défricheurs.

Le groupe de pionniers s’arrête à une trentaine de kilomètres de l’embouchure de la rivière, sur une pointe de terre formée par la rencontre des rapides de la Yamaska et d’un petit cours d’eau, que Jacques- Hyacinthe baptise rivière Delorme. Le lieu, où les chênes et les pins recherchés pour le commerce du bois abondent, prend le nom de Rapide-Plat et devient le siège de la communauté naissante.

Les berges de la rivière Delorme voient [...] l’édification d’un petit moulin à farine dès 1760, puis d’un moulin à scie pour l’exploitation des ressources forestières. Le seigneur Delorme lui-même érige sa résidence au Rapide-Plat afin de veiller au progrès de sa petite colonie de bûcherons-cultivateurs.

Un centre régional
L’établissement du Rapide-Plat croît peu à peu, mais lorsqu’en 1772 vient le temps de construire un nouveau moulin à farine pour répondre aux besoins de la population grandissante, le seigneur Delorme choisit plutôt un emplacement à quelques kilomètres en amont, au pied d’un coteau bordé de cascades qui fournissent une abondante puissance hydraulique. Le site de la Cascade se révèle rapidement plus attirant pour les colons, et c’est à cet endroit que se développe bientôt un petit noyau villageois.

De village à cité
Au milieu du 19e siècle, Saint-Hyacinthe est une municipalité en plein essor. La richesse de ses terres agricoles, la présence d’une institution prestigieuse telle que le Séminaire, l’épanouissement d’une bourgeoisie libérale florissante, l’arrivée du chemin de fer et le développement d’un noyau industriel prometteur offrent toutes les conditions favorables pour une expansion rapide. L’industrialisation naissante, qui nécessite la concentration d’une importante main-d’œuvre, favorise d’ailleurs l’urbanisation. La population maskoutaine double ainsi en une trentaine d’années, passant de près de 3700 habitants en 1861 à plus de 7000 en 1891.

Ville académique, Saint-Hyacinthe abrite entre autres la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal, seule école vétérinaire francophone en Amérique du Nord, l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) et le Cégep de Saint-Hyacinthe.

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Saint-Hyacinthe est la première ville canadienne à avoir obtenu le prestigieux titre de technopole agroalimentaire en 1993.

LES ACCOMPAGNATEURS

Prendre plaisir à la visite.
Pensons « léger ».
Les mots clés à retenir, ÉDUCATION et DÉLECTATION, avec pour finalité de faire grandir la fierté de posséder ce magnifique Boisé.

PRÉREQUIS POUR DEVENIR ACCOMPAGNATEUR ET CONSIGNES

  • -  Adhérer aux principes de l’AGBB

  • -  Être accrédité par le CA de l’AGBB (ça ressemble à une blague, mais pourquoi pas...)

  • -  Assimiler les informations de base à transmettre

  • -  Favoriser la participation des membres de l’AGBB à cette activité

  • -  Éprouver du plaisir à transmettre des informations à propos du Boisé et de la

    Famille Blouin-Racine

  • -  Se comporter comme un BILIWIN

  • -  Ajuster son niveau de langage selon l’âge des PARTICIPANTS

  • -  Penser à la sécurité des PARTICPANTS

  • -  S’assurer que les PARCITIPANTS sont convenablement vêtus et chaussés

    avant de s’engager dans l’activité À ÉVITER

  • -  Éviter de trop vouloir en dire.
    Selon le contexte, aller jusqu’à délaisser l’information à transmettre.
    Il est souhaitable de favoriser l’appréciation du présent : un insecte bizarre, une odeur très présente, le cri d’un oiseau... en somme, vivre le présent... De là le nom le PARCOURS DES SENS.

  • -  Éviter la mention de consignes contraignantes, éviter d’insister sur les règlements de l’AGBB, les règles de gouvernance, etc; ce type d’information pourra être transmis dans un autre contexte, dans un cadre plus formel. Insister sur les règlements à respecter peut créer un climat désagréable pour le PARTICIPANT, un climat de type « surveiller et punir ». C’est tout le contraire que l’on souhaite avec cette activité.

    À la fin de cette activité éducative et ludique, pour ceux qui veulent obtenir des éclaircissements concernant la GOUVERNANCE du Boisé, on pourra suggérer : aux ENFANTS de discuter avec leurs parents; et aux PARTICIPANTS ADULTES, de consulter le site web du Boisé et de participer à l’Assemblée générale annuelle.

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